Chaînes fraîchement brisées (par Sycolag)

Noufloca      (15/08/2016 - 16:57:15)     
Quelle belle représentation !

Cassy      (16/08/2016 - 10:20:56)     
Liberté chérie! On ne pouvait trouver mieux pour ce thème. Bravo!

cocoprevost      (16/08/2016 - 22:59:46)     
Les chaines de l'esclavage belle idée liberez le

Victorserge      (17/08/2016 - 00:33:38)     
Et si on ecoutait ce qui n'est pas dit?
Briser les chaînes ne suffit pas.
Une fois que les esclaves sont libérés de leurs chaînes, ils deviennent prolétaires soumis à la contrainte économique.
Or, il n'y a pas de liberté sous la contrainte.
S"il y a liberté, c'est dans la compréhension de la nécessité. Et ça, ça demande des moyens...

Amanda      (17/08/2016 - 14:21:35)     
Il faut bien commencer par les briser les chaînes, un grand pas en avant...

Icila      (17/08/2016 - 20:06:32)     
L'esclavage de la consommation, Victorserge ?

vuemusicale      (20/08/2016 - 21:43:17)     
Mon père me disait souvent qu'il restait optimiste pour l'avenir: un jour il n'y aura plus de guerre, plus d'injustice, mais ça prendra du temps, car un premier pas a déjà été conquis, il n'y a plus d'esclavage autorisé après des millénaires.
La photo est très parlante.

Victorserge      (20/08/2016 - 23:23:48)     
Alors Icila, je ne parle pas de l'esclavage par l'envie irrépressible d'acheter des choses que la publicité rend indispensables.
Je parle de la condition de vie du prolétariat dont une grande partie; dois-je vous le rappeler, n'a que difficilement accès à l'instruction scolaire ou à l'aspirine.
Un propriétaire avait intérêt à bien entretenir ses esclaves s'il voulait en tirer un bénéfice (est ce qu'on maltraite sa machine à laver?)
Alors qu'un citoyen se croyant libre (juste libre d'aller et venir dans la mesure de ses moyens), on peut le mettre en concurrence avec des prolétaires du monde entier.
J'en veux pour preuve que mon usine, qui bossait essentiellement pour Boeing, délocalise presque tout au Mexique, au Maroc, en Tchéquie et en Bulgarie, et qu'en octobre, on va se manger un plan social.

Je faisais juste allusion à la perversité de cette idée libérale qui dit que la liberté, c'est mieux que l'esclavage; parce que justement, ça occulte ce qu'est réellement la liberté.
La liberté est la compréhension qu'on n'échappe pas au travail; à la condition (car dans mon 1er commentaire, j'ai écrit que ça demande des moyens) qu'on travaille tous pour le bien commun et non pour le profit d'un millième de l'humanité.
Mais ça aussi, ça demande des moyens...