Vos commentaires sur Départ vers la 3e planète après le soleil
Noufloca (18/4/2011 - 15:01) Pour rester dans "l'ancien combattant" de Nièce-Icila, je dirais que c'est sans doute le train de 8 heures 47 !!! (wouaf wouaf wouaf)
Brigou (18/4/2011 - 17:54) Plusieurs ont eu l'idée du train on dirait !!
Icila (18/4/2011 - 18:38) Quand on ne sait pas rattrapper l'avion, mieux vaut en effet envisager le train (de 8h47 évidemment)!
mosava (19/4/2011 - 08:13) est-ce le train fatal ?
Dans la campagne verdoyante Le train longeant sa voie de fer
Emporte une foule bruyante
Tout là-bas vers la grande mer.
Le mécanicien Jean, sur sa locomotive,
Regarde l’air mauvais Blaise, le beau chauffeur ;
La colère en ses yeux luit d’une flamme vive,
De sa femme chérie Blaise a volé le cœur.
Roule, Roule, train du désir
Dans la plaine jolie
Vers un bel avenir
D’amour et de folie.
L’homme rude et noir qui conduit
Cette joyeuse foule
Sent de ses yeux rougis
Une larme qui coule.
Des heureux voyageurs, on entend les refrains.
Suivant les rails et son destin
C’est le train du plaisir qui roule.
Le pauvre Jean, perdant la tête,
Rendu fou par la trahison,
Sur son rival soudain se jette
Criant : "Bandit, rends-moi Lison".
Le chauffeur éperdu fait tournoyer sa pelle,
Jean lui sautant au cou l’étrangle comme un chien
Et tous les deux rivés par l’étreinte mortelle
Tombent de la machine abandonnant leur train.
Roule, roule, train du malheur
Dans la plaine assombrie,
Roule à toute vapeur
D’un élan de folie.
Les paysans saisis te voyant
Tout seul fendant l'espace
Se signent en priant
Et la terreur les glace
Des heureux voyageurs on entend les refrains.
Suivant son terrible destin,
C’est le train du malheur qui passe.(1)
Tiens ! la chose est vraiment bizarre,
On devrait s’arrêter ici.
Le train brûle encore une gare,
Ah ça... que veut dire ceci ?
Alors du train maudit une clameur s’élève,
On entend des sanglots et des cris de dément,
Chacun revoit sa vie dans un rapide rêve,
Puis c’est le choc, le feu, les appels déchirants !
Flambe, Flambe, train de la mort
Dans la plaine rougie
Tout se brise et se tord
Sous un vent de folie,
Les petits enfants, leurs mamans
S’appellent dans les flammes,
Les amoureux râlant
Réunissent leurs âmes !
Pourquoi ces pleurs, ces cris, pourquoi ces orphelins ?
Pour un simple, un tout petit rien :
L’infidélité d’une femme.
Larkeo (19/4/2011 - 08:21) T'as même pas eu le temps de faire développer ton négatif !
Icila (19/4/2011 - 09:52) @ Mosava : Merci pour cette chanson que j'aime beaucoup.
Pour rester dans "l'ancien combattant" de Nièce-Icila, je dirais que c'est sans doute le train de 8 heures 47 !!! (wouaf wouaf wouaf)